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  1. Résultat n°1

    Comité d'honneur, commission administratives, conseil d'administration

    Date

    1928-1950

    Cote

    2249W/1

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Comité d'honneur, commission administratives, conseil...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  2. Résultat n°2

    Arrêtés préfectoraux de composition et de nomination à la commission, commission de surveillance, registre de délibérations.

    Date

    1956-1976

    Cote

    2249W/2

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • Arrêtés préfectoraux de composition et de nomination...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  3. Résultat n°3

    20 juillet 1938, novembre 1949-octobre 1959

    Date

    1938-1959

    Cote

    2249W/3

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 20 juillet 1938, novembre 1949-octobre 1959

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  4. Résultat n°4

    février 1960-novembre 1963

    Date

    1960-1963

    Cote

    2249W/4

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • février 1960-novembre 1963

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  5. Résultat n°5

    février 1964-novembre 1969

    Date

    1964-1969

    Cote

    2249W/5

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • février 1964-novembre 1969

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  6. Résultat n°6

    avril 1970-19 juin 1975

    Date

    1970-1975

    Cote

    2249W/6

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • avril 1970-19 juin 1975

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  7. Résultat n°7

    26 juin 1975-19 novembre 1976

    Date

    1975-1976

    Cote

    2249W/7

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 26 juin 1975-19 novembre 1976

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  8. Résultat n°8

    2 décembre 1976-1977

    Date

    1976-1977

    Cote

    2249W/8

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 2 décembre 1976-1977

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  9. Résultat n°9

    1978-5 novembre 1979

    Date

    1978-1979

    Cote

    2249W/9

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1978-5 novembre 1979

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  10. Résultat n°10

    29 novembre 1979-1980

    Date

    1979-1980

    Cote

    2249W/10

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 29 novembre 1979-1980

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  11. Résultat n°11

    1981-1982

    Date

    1981-1982

    Cote

    2249W/11

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1981-1982

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  12. Résultat n°12

    18 janvier-9 septembre 1983

    Date

    1983

    Cote

    2249W/12

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 18 janvier-9 septembre 1983

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  13. Résultat n°13

    4 octobre-29 décembre 1983

    Date

    1983

    Cote

    2249W/13

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 4 octobre-29 décembre 1983

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  14. Résultat n°14

    1984

    Date

    1984

    Cote

    2249W/14

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1984

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  15. Résultat n°15

    1985

    Date

    1985

    Cote

    2249W/15

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1985

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  16. Résultat n°16

    7 mai 1986-30 novembre 1987

    Date

    1986-1987

    Cote

    2249W/16

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 7 mai 1986-30 novembre 1987

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  17. Résultat n°17

    4 novembre 1987-22 novembre 1989

    Date

    1987-1989

    Cote

    2249W/17

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 4 novembre 1987-22 novembre 1989

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  18. Résultat n°18

    12 décembre 1989-24 septembre 1992

    Date

    1989-1992

    Cote

    2249W/18

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 12 décembre 1989-24 septembre 1992

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  19. Résultat n°19

    9 décembre 1992-1994

    Date

    1992-1994

    Cote

    2249W/19

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 9 décembre 1992-1994

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  20. Résultat n°20

    1995-30 septembre 1997

    Date

    1995-1997

    Cote

    2249W/20

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1995-30 septembre 1997

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.