1AV -Acquisitions hors fonds d'archives

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Description physique

1 film Hi 8 Couleur, sonore Durée 01:33:39

Mots clés typologiques

Aunay-sur-Odon, Ce village qui ne voulait pas mourir

Cote/Cotes extrêmes

1AV/110

Date

1951

Description physique

Film 16 mm, noir et blanc.

Particularité du document

Durée 13:39 min.

Origine

Pol, Alain (réalisateur) ;
Lerner, Eugène (scénariste) ;
Grizelin, Victor (monteur) ;
Baron, Paul (compositeur)

Biographie ou Histoire

Ce film évoque la reconstruction d'Aunay sur Odon d'abord reconstruit en bois en périphérie de l'ancien centre urbain. Les habitants y ont repris une vie normale et les infrastructures ne manquent pas : hôpital, école, commerces, avec eau courante et électricité. Mais, à l'emplacement du premier Auray sur Odon, un village en pierre est en cours de construction, financé par les gouvernements français et suédois et par le plan Marshall. En 1950, ce troisième village est en voie d'achèvement et les habitants prêts à s'y installer. Sous la forme d'un récit, celui de la femme du maire, le documentaire présente successivement ces deux villages, celui en bois puis celui en pierre, et les principaux quartiers et bâtiments qui les constituent.

Modalités d'entrées

Achat 2016. Entrée n°5383.

Présentation du contenu

Un cadre pittoresque en Normandie (00:00:00-00:01:19) ; les desastres de la Seconde Guerre mondiale (00:01:20-00:02:19) ; le retrour dans la ville devastée et la reprise des activités (00:02:20-00:03:15) ; l'église et la mairie (00:03:16-00:03:50) ; Louis Lacaine, maire d'Aunay (00:03:51-00:04:22) ; les logements provisoires (00:04:23-00:04:55) ; l'école (00:04:56-00:05:05) ; les loisirs (00:05:06-00:05:33) ; les activités économiques (00:05:34-00:07:28) ; le "second Aunay" (00:07:29-00:08:07) ; le "troisième Aunay" (00:08:08-00:12:10) ; épilogue (00:12:11-00:13:22) ; générique de fin (00:13:22-00:13:39)

Conditions d'accès

NC Document numérisé

Document numérisé et consultable en salle de lecture uniquement.

Existence et lieu de conservation de copies

Aux Archives nationales, ce film figure également dans deux cinémathèques,