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  1. Résultat n°1

    Comité d'honneur, commission administratives, conseil d'administration

    Date

    1928-1950

    Cote

    2249W/1

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Comité d'honneur, commission administratives, conseil...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  2. Résultat n°2

    Arrêtés préfectoraux de composition et de nomination à la commission, commission de surveillance, registre de délibérations.

    Date

    1956-1976

    Cote

    2249W/2

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • Arrêtés préfectoraux de composition et de nomination...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  3. Résultat n°3

    20 juillet 1938, novembre 1949-octobre 1959

    Date

    1938-1959

    Cote

    2249W/3

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 20 juillet 1938, novembre 1949-octobre 1959

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  4. Résultat n°4

    février 1960-novembre 1963

    Date

    1960-1963

    Cote

    2249W/4

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • février 1960-novembre 1963

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  5. Résultat n°5

    février 1964-novembre 1969

    Date

    1964-1969

    Cote

    2249W/5

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • février 1964-novembre 1969

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  6. Résultat n°6

    avril 1970-19 juin 1975

    Date

    1970-1975

    Cote

    2249W/6

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • avril 1970-19 juin 1975

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  7. Résultat n°7

    26 juin 1975-19 novembre 1976

    Date

    1975-1976

    Cote

    2249W/7

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 26 juin 1975-19 novembre 1976

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  8. Résultat n°8

    2 décembre 1976-1977

    Date

    1976-1977

    Cote

    2249W/8

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 2 décembre 1976-1977

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  9. Résultat n°9

    1978-5 novembre 1979

    Date

    1978-1979

    Cote

    2249W/9

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1978-5 novembre 1979

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  10. Résultat n°10

    29 novembre 1979-1980

    Date

    1979-1980

    Cote

    2249W/10

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 29 novembre 1979-1980

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  11. Résultat n°11

    1981-1982

    Date

    1981-1982

    Cote

    2249W/11

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1981-1982

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  12. Résultat n°12

    18 janvier-9 septembre 1983

    Date

    1983

    Cote

    2249W/12

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 18 janvier-9 septembre 1983

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  13. Résultat n°13

    4 octobre-29 décembre 1983

    Date

    1983

    Cote

    2249W/13

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 4 octobre-29 décembre 1983

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  14. Résultat n°14

    1984

    Date

    1984

    Cote

    2249W/14

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1984

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  15. Résultat n°15

    1985

    Date

    1985

    Cote

    2249W/15

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1985

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  16. Résultat n°16

    7 mai 1986-30 novembre 1987

    Date

    1986-1987

    Cote

    2249W/16

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 7 mai 1986-30 novembre 1987

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  17. Résultat n°17

    4 novembre 1987-22 novembre 1989

    Date

    1987-1989

    Cote

    2249W/17

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 4 novembre 1987-22 novembre 1989

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  18. Résultat n°18

    12 décembre 1989-24 septembre 1992

    Date

    1989-1992

    Cote

    2249W/18

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 12 décembre 1989-24 septembre 1992

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  19. Résultat n°19

    9 décembre 1992-1994

    Date

    1992-1994

    Cote

    2249W/19

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 9 décembre 1992-1994

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  20. Résultat n°20

    1995-30 septembre 1997

    Date

    1995-1997

    Cote

    2249W/20

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Instances dirigeantes
    • Commission administrative et comité de suveillance
    • 1995-30 septembre 1997

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  21. Résultat n°21

    Création et suivi de l'école de puériculture, du préventorium, du service médical infantile spécialisé (SMIS).Situation et perspective d'avenir de la maison départementale de Bénouville en 1981.

    Date

    1937-1981

    Cote

    2249W/21

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Organisation
    • Création et suivi de l'école de puériculture, du préventorium,...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  22. Résultat n°22

    Établissements composant la maison maternelle : correspondance avec le Conseil général, notes de service...

    Date

    1983-1986

    Cote

    2249W/22

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Organisation
    • Établissements composant la maison maternelle : correspondance...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  23. Résultat n°23

    1931-1938

    Date

    1931-1938

    Cote

    2249W/23

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • 1931-1938

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  24. Résultat n°24

    1939-1940

    Date

    1939-1940

    Cote

    2249W/24

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • 1939-1940

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  25. Résultat n°25

    1942-1945

    Date

    1942-1945

    Cote

    2249W/25

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • 1942-1945

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  26. Résultat n°26

    1941-1948

    Date

    1941-1948

    Cote

    2249W/25

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • 1941-1948

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  27. Résultat n°27

    Courrier d'arrivée et de départ de placement pupilles et demandes d'emploi

    Date

    1959-1975

    Cote

    2249W/26

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • Courrier d'arrivée et de départ de placement pupilles...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  28. Résultat n°28

    Correspondance avec le préfet

    Date

    1929-1982

    Cote

    2249W/27

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Correspondance
    • Correspondance avec le préfet

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  29. Résultat n°29

    Inventaires: économat, pharmacie, matériel, bâtiments

    Date

    1934-1972

    Cote

    2249W/28

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Inventaires
    • Inventaires: économat, pharmacie, matériel, bâtiments

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  30. Résultat n°30

    Aménagement et gestion des bâtiments, équipements, matériel

    Date

    1929-1975

    Cote

    2249W/29

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Bâtiments, matériels et travaux
    • Aménagement et gestion des bâtiments, équipements,...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  31. Résultat n°31

    Gestion et acquisition de nouveau matériel, gestion foncière, inventaire et marchés pour les denrées et vivres

    Date

    1928-1982

    Cote

    2249W/30

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Bâtiments, matériels et travaux
    • Gestion et acquisition de nouveau matériel, gestion...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  32. Résultat n°32

    Association du Calvados pour l'aide aux mères de famille

    Date

    1968-1970

    Cote

    2249W/30

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Participation à la vie associative
    • Association du Calvados pour l'aide aux mères de famille

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  33. Résultat n°33

    1928-1948

    Date

    1928-1948

    Cote

    2249W/31

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1928-1948

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  34. Résultat n°34

    1950-1956

    Date

    1950-1956

    Cote

    2249W/32

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1950-1956

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  35. Résultat n°35

    1957-1961

    Date

    1957-1961

    Cote

    2249W/33

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1957-1961

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  36. Résultat n°36

    1962-1967

    Date

    1962-1967

    Cote

    2249W/34

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1962-1967

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  37. Résultat n°37

    1968-1973

    Date

    1968-1973

    Cote

    2249W/35

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1968-1973

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  38. Résultat n°38

    1974-1979

    Date

    1974-1979

    Cote

    2249W/36

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1974-1979

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  39. Résultat n°39

    1980-1986

    Date

    1980-1986

    Cote

    2249W/37

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1980-1986

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  40. Résultat n°40

    1987-1989

    Date

    1987-1989

    Cote

    2249W/38

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1987-1989

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  41. Résultat n°41

    1990-1993

    Date

    1990-1993

    Cote

    2249W/39

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1990-1993

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  42. Résultat n°42

    Registres

    Date

    1936-1937

    Cote

    2249W/40

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • Budget annexe et fiches budgétaires
    • Registres

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  43. Résultat n°43

    Fiches budgétaires de dépenses avec imputation et de recettes

    Date

    1960-1972

    Cote

    2249W/41

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • Budget annexe et fiches budgétaires
    • Fiches budgétaires de dépenses avec imputation et de...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  44. Résultat n°44

    1939-1969

    Date

    1939-1969

    Cote

    2249W/42

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Situations mensuelles
    • 1939-1969

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  45. Résultat n°45

    1929-1930

    Date

    1929-1930

    Cote

    2249W/43

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1929-1930

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  46. Résultat n°46

    1931

    Date

    1931

    Cote

    2249W/44

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1931

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  47. Résultat n°47

    1932-1933

    Date

    1932-1933

    Cote

    2249W/45

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1932-1933

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  48. Résultat n°48

    1934-1935

    Date

    1934-1935

    Cote

    2249W/46

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1934-1935

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  49. Résultat n°49

    1936-1937

    Date

    1936-1937

    Cote

    2249W/47

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1936-1937

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  50. Résultat n°50

    1938

    Date

    1938

    Cote

    2249W/48

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1938

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  51. Résultat n°51

    1939

    Date

    1939

    Cote

    2249W/49

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1939

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  52. Résultat n°52

    1948

    Date

    1948

    Cote

    2249W/50

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1948

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  53. Résultat n°53

    1949, 1952

    Date

    1949-1952

    Cote

    2249W/51

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1949, 1952

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  54. Résultat n°54

    1953-1954

    Date

    1953-1954

    Cote

    2249W/52

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Grand livre
    • 1953-1954

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  55. Résultat n°55

    1929-1931 (15/7), 1931 (15/7), 1933 (6/5)

    Date

    1929-1933

    Cote

    2249W/53

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Journal
    • 1929-1931 (15/7), 1931 (15/7), 1933 (6/5)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  56. Résultat n°56

    1933 (8/5)-1935 (28/2), 1936 (12)

    Date

    1933-1936

    Cote

    2249W/54

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Journal
    • 1933 (8/5)-1935 (28/2), 1936 (12)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  57. Résultat n°57

    1937-1940 (30/9), 1940 (30/9-31/12)

    Date

    1937-1940

    Cote

    2249W/55

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Journal
    • 1937-1940 (30/9), 1940 (30/9-31/12)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  58. Résultat n°58

    1948 (31/1)-1950 (3), 1951

    Date

    1948-1951

    Cote

    2249W/56

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Journal
    • 1948 (31/1)-1950 (3), 1951

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  59. Résultat n°59

    1928-1935, 1929

    Date

    1928-1935

    Cote

    2249W/57

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Livre de compte par nature des dépenses
    • 1928-1935, 1929

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  60. Résultat n°60

    1938-1940, 1941-1944

    Date

    1938-1944

    Cote

    2249W/58

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Livre de compte par nature des dépenses
    • 1938-1940, 1941-1944

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  61. Résultat n°61

    1945-1947

    Date

    1945-1947

    Cote

    2249W/59

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Livre de compte par nature des dépenses
    • 1945-1947

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  62. Résultat n°62

    Quittancier

    Date

    1929

    Cote

    2249W/59

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Quittancier

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  63. Résultat n°63

    1952-1953

    Date

    1952-1953

    Cote

    2249W/60

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1952-1953

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  64. Résultat n°64

    1928-1954

    Date

    1928-1954

    Cote

    2249W/61

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1928-1954

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  65. Résultat n°65

    1931-1934

    Date

    1931-1934

    Cote

    2249W/62

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1931-1934

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  66. Résultat n°66

    1935-1937

    Date

    1935-1937

    Cote

    2249W/63

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1935-1937

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  67. Résultat n°67

    1937-1941

    Date

    1937-1941

    Cote

    2249W/64

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1937-1941

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  68. Résultat n°68

    1942-1948

    Date

    1942-1948

    Cote

    2249W/65

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1942-1948

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  69. Résultat n°69

    1929-1938

    Date

    1929-(1938)

    Cote

    2249W/66

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1929-1938

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  70. Résultat n°70

    1948-1949

    Date

    1948-1949

    Cote

    2249W/66

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Registre divers liés aux dépenses
    • Registre des dépenses
    • 1948-1949

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  71. Résultat n°71

    1939-1951, 1952

    Date

    1939-1951

    Cote

    2249W/67

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1939-1951, 1952

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  72. Résultat n°72

    1953-1954,1929

    Date

    1953

    Cote

    2249W/68

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1953-1954,1929

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  73. Résultat n°73

    1940-1942

    Date

    1940-1942

    Cote

    2249W/69

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1940-1942

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  74. Résultat n°74

    1943-1945

    Date

    1943-1945

    Cote

    2249W/70

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1943-1945

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  75. Résultat n°75

    Livre de caisse, registre de comptabilité, régie et livre journal de recette et d'avances

    Date

    1929-1963

    Cote

    2249W/71

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livre de caisse, registre de comptabilité, régie et...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  76. Résultat n°76

    Registre de comptabilité des débiteurs, livre journal des recettes et dépenses, conventions avec la CPAM, arrêtés de création et de nomination pour la maternité

    Date

    1936-1970

    Cote

    2249W/72

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Registre de comptabilité des débiteurs, livre journal...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  77. Résultat n°77

    Statuts, effectifs, note d'organisation, de service, syndicales et élections aux commissions paritaires départementale et locale

    Date

    1935-1983

    Cote

    2249W/73

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Gestion du personnel
    • Organisation générale
    • Statuts, effectifs, note d'organisation, de service,...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  78. Résultat n°78

    Registre de la commission de classement par catégorie de personnel

    Date

    1946-1956

    Cote

    2249W/74

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Gestion du personnel
    • Organisation générale
    • Registre de la commission de classement par catégorie...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  79. Résultat n°79

    Conseil de discipline

    Date

    1951-1980

    Cote

    2249W/75

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Gestion du personnel
    • Organisation générale
    • Conseil de discipline

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  80. Résultat n°80

    Amicale du personnel : organisation, correspondance. Personnel démissionnaire : fiches d'appréciations (1950-1956) , promotion : liste des propositions d'avancement (1961)

    Date

    1937-1941

    Cote

    2249W/76

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Gestion du personnel
    • Organisation générale
    • Amicale du personnel : organisation, correspondance....

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.