2E - Papiers de famille

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Cote/Cotes extrêmes

2E/1-2E/971

Présentation du contenu

Titres féodaux et archives seigneuriales, classés par noms de seigneuries : titres de propriété, comptes, aveux, rentes, procédures. Titres de famille, classés par noms de familles : généalogie, correspondance privée, gestion domestique, papiers commerciaux et relatifs aux fonctions exercées par les membres de la famille.

Cette nouvelle version de la sous-série 2E Familles reprend le contenu de la plupart des liasses en y intégrant les éléments d'indexation pouvant apporter des éclairages enrichissants sur des sujets historiques et micro-historiques variés.

Série «fourre tout», 2 E n'est l'est devenue qu'au fil des tris de séries expurgées de leurs pièces jointes (état-civil, 1 Q), et aux vicissitudes des déménagements des années 1944-45 et 1963, alors qu'à l'origine, les séquestres des papiers d'émigrés n'étaient pas si nombreux et auraient pu avoir un traitement plus judicieux, comme celui apporté à 1 E seigneuries.

Voici les grands traits de cette relecture:

En règle générale, toute famille apparaissant dans un dossier au travers de plusieurs actes notariés ou sous seing-privé, de nature ou de nombre importants, a été potentiellement retenue.

Les contrats de mariage, quant à eux (ils sont de fait fréquents dans cette sous-série), se voient désormais dotés du nom de famille généralement oublié du second conjoint.

En ce qui concerne les familles nobles, le choix s'est porté sur l'adjonction systématique au patronyme du nom de la terre ou seigneurie possédée par le ou les individus cités.

Tout acte relatif aux décisions du commun des habitants des paroisses a été recueilli, tout comme les contrats, délibérations ou procédures intéressant les fabriques paroissiales (appelées «trésors» sous L'Ancien Régime, en Normandie).

En dépit des fonds, assez riches, de la série H, il a néanmoins été jugé utile d'indiquer toute affaire mettant en cause des abbayes, couvents ou monastères, souvent par le biais de leurs possessions.

Les fonds féodo-seigneuriaux ont donné lieu à une précision affinée, surtout sur les noms des tenanciers avouants. Quelques fonds correspondent, par leur ampleur relative, à un complément à la sous-série 1 E, réel (c'est le cas, par exemple, du chartrier de Dampierre ou de Bernières-Le-Patry) ou associable (Monts-en-Bessin).

Une minorité de pièces a été classée au nom de lieu, par exception.

Les offices, locaux ou non, lorsqu'ils font l'objet de tractations ou de gestion, sont toujours notés.

Tout ce qui concerne les militaires, officiers ou non, leur participation aux conflits (sous forme de certificats de service) et les récompenses obtenues (passages de grade, décorations), est souligné.

Les lettres de maîtrise sont toujours remarquées, et les inventaires mobiliers après-décès pris en considération.

Pour ce qui est du religieux, les actes relatifs aux prêtres et à la piété, privée ou publique, ont été référencés; la rencontre de particuliers de la Religion réformée est systématiquement signalée, lorsque cela n'avait pas été fait dans la première version.

Enfin, tout document ou ensemble de pièces, même rudimentaire, ayant trait aux autres départements (surtout limitrophes) figure désormais lisiblement dans ce répertoire.

L'orthographe de certains patronymes a été corrigée, voire renouvelée, et les véritables noms de porteurs de titres seigneuriaux rétablis, sans toutefois, hélas, régler tous les cas pendants. Une refonte générale des dossiers n'ayant pu être opérée, la nouvelle dénomination a été indiquée en renvoi dans le corps du texte lorsque sa position dans l'ordre alphabétique primitif ne correspondait plus.

L'origine de certains documents, détachés par inadvertance d'autres fonds et séries (A, B, 4C, E Aunay, Harcourt, 1 E, F, 1Q) a été désignée ou supposée telle, apportant souvent un complément d'information parfois précieux pour certains documents rares ou inattendus.

 

Jean-Baptiste Médor, professeur de danse

Cote/Cotes extrêmes

2E/697

Date

1740-1764

Biographie ou Histoire

Jean-Baptiste Médor est un maître à danser venu de Saint-Domingue et ayant exercé longuement à Caen sans doute depuis les années 1730 jusqu'à sa mort en 1768 (Sylvie Granger).

Il servit en outre d'homme de confiance pour administrer les propriétés normandes de la fille de son ancien maître, Marie-Catherine de Sorel, devenue comtesse d'Hautefeuille.

Présentation du contenu

Méthode de danse, partitions, schémas de danses, correspondance.

Notes

Dossier intégralement numérisé.