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  1. Résultat n°1

    1940-1942

    Date

    1940-1942

    Cote

    2249W/69

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Comptabilité
    • Recettes
    • Livres de comptes par nature de recettes et mandats...
    • 1940-1942

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  2. Résultat n°2

    1945 (27/6)-1946 (6/6)

    Date

    1945-1946

    Cote

    2249W/162

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Administration et suivi des mères
    • Répertoire d'entrées et de sorties quotidiennes
    • 1945 (27/6)-1946 (6/6)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  3. Résultat n°3
    Bénouville (photos n°24 et 25)

    2 medias

    Bénouville (photos n°24 et 25)

    Date

    1899

    Cote

    128FI/1

    • Contexte : 128Fi - Fonds Albert Pinet, photographe amateur

    • Photos de famille, évènements, voyages...
    • Normandie
    • Calvados
    • Bénouville (photos n°24 et 25)
  4. Résultat n°4

    Création et suivi de l'école de puériculture, du préventorium, du service médical infantile spécialisé (SMIS).Situation et perspective d'avenir de la maison départementale de Bénouville en 1981.

    Date

    1937-1981

    Cote

    2249W/21

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Organisation et gouvernance de l'établissement
    • Organisation
    • Création et suivi de l'école de puériculture, du préventorium,...

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  5. Résultat n°5
    Le château de Bénouville (photo n°65)

    1 media

    Le château de Bénouville (photo n°65)

    Cote

    2Fi/920

    • Contexte : Seconde Guerre mondiale : photographies isolées et...

    • Répression et victimes civiles
    • Photographies d'André Bernier, réfractaire du STO caché...
    • Le château de Bénouville (photo n°65)
  6. Résultat n°6

    de L à V

    Cote

    2249W/623

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1971
    • de L à V

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  7. Résultat n°7

    Dossier 390BP

    Cote

    926W/11

    • Contexte : 926W-928W - Dommages de guerre des bâtiments publics

    • Bénouville
    • Dossier 390BP
  8. Résultat n°8

    BH/8/11120

    Cote

    BH/8/11120

    • Contexte : Ouvrages publiés entre 1991 et 2000

    • Claude-Nicolas Ledoux, 1736-1806 : l'architecture et...
    • BH/8/11120
  9. Résultat n°9

    1930 (4/3-6/10) 1930 (7/10)-1931 (3/5)

    Date

    1930-1931

    Cote

    2249W/147

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Administration et suivi des mères
    • Répertoire d'entrées et de sorties quotidiennes
    • 1930 (4/3-6/10) 1930 (7/10)-1931 (3/5)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  10. Résultat n°10

    1987-1989

    Date

    1987-1989

    Cote

    2249W/38

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Financement et économat
    • Budget
    • 1987-1989

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  11. Résultat n°11
    "Carte de l'embouchure de l'Orne avec le rivage de fosse de Colleville"

    1 media

    "Carte de l'embouchure de l'Orne avec le rivage de fosse de Colleville"

    Date

    1ère moitié du 19e siècle

    Cote

    1FI/295

    • Contexte : Cartes et plans isolés

    • Cartes et plans
    • "Carte de l'embouchure de l'Orne avec le rivage de...
  12. Résultat n°12

    de J à Z (1932) - de A à J (1933)

    Date

    1932-1933

    Cote

    2249W/698

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1931-1937
    • de J à Z (1932) - de A à J (1933)

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  13. Résultat n°13

    de AMA à BEU

    Cote

    2249W/559

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • sortie 1961
    • de AMA à BEU

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  14. Résultat n°14

    de BR à CR

    Cote

    2249W/519

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1957
    • de BR à CR

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  15. Résultat n°15

    de C à D

    Cote

    2249W/670

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1980
    • de C à D

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  16. Résultat n°16

    1938

    Date

    1938

    Cote

    2249W/244-2249W/246

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Administration et suivi des mères
    • Dossiers des mères
    • 1938

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  17. Résultat n°17

    1956-1958

    Date

    1956-1958

    Cote

    2249W/195

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Registre des entrées et sorties des enfants
    • 1956-1958

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  18. Résultat n°18

    de H à N

    Cote

    2249W/606

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1968
    • de H à N

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  19. Résultat n°19

    1950-1951

    Date

    1950-1951

    Cote

    2249W/430

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Administration et suivi des mères
    • Bulletin d'accouchement
    • 1950-1951

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.
     

  20. Résultat n°20

    de CHE à FR

    Cote

    2249W/593

    • Contexte : 2249W. Maternité de Bénouville (anonymisé)

    • Population
    • Pouponnière
    • Dossiers enfants
    • Sortie 1965
    • de CHE à FR

    Producteur :

    Le 27 septembre 1927, le baron François Gérard, député et conseiller général de Bayeux propose au conseil général la création dans le Calvados d'un service départemental de maternité et d'une maison maternelle. Le 2 mai 1928, le conseil général prend une délibération substituant la maternité de Bénouville à toutes les autres maternités du département pour l'hospitalisation des femmes enceintes admises au bénéfice de l'assistance médicale gratuite et ne pouvant accoucher à domicile.
    Elle ouvre ses portes le 1er janvier 1929 avec pour objectif de réduire la mortalité infantile et accroître la natalité dans le département. Le château de Bénouville est composé d'un service de maternité, d'une pouponnière pour les enfants du premier âge et d'une garderie spéciale pour enfants assistés. Afin de permettre le développement de son activité, le parc du château acccueille par la suite quatre pavillons permmettant d'installés les services généraux (cuisine, laverie, réfectoires....), les logements du personnel, un réfectoire, un pavillon d'isolement pour les enfants malade ou encore une pouponnière.
    En 1936, le conseil général décide de supprimer l'obligation pour les femmes enceintes bénéficiant de l'assistance médicale gratuite d'accoucher à Bénouville, sauf pour les admissions en "maternité secrète". Le conseil général créé un service pré et postnatal, les mères qui sont en mesures d'allaiter peuvent y séjourner trois mois après leur accouchement. La maternité de Bénouville a également pour mission de pourvoir au placement des mères à leur sortie.
    Durant la Seconde Guerre, le conseil général perd la gestion de la maternité qui est géré directement par l'inspecteur départemental des services d'assistance sans consultation de la commission administrative. Durant l'occupation, la maternité connaît une relative tranquilité mais à partir du 6 juin 1944 et pendant plusieurs semaines sont fonctionnement sera gravement perturbé par les combats.
    En 1943, un centre d'apprentissage est créé par Léa Vion directrice de la maternité. Il accueille toutes les pupilles de l'Etat et a pour objectif de les préparer aux fonctions de puériculture et d'infirmières.
    Léa Vion a très fortement marqué l'histoire de la Maison maternelle, elle a été directrice-économe de la maternité de 1935 à 1956. Son activité au sein de la Résistance pendant la guerre lui a valu de recevoir la Légion d'honneur à titre militaire.
    En 1949, suite à l'avis émis par la commission de la tuberculose du conseil permanant d'hygiène sociale du Ministère de la Santé publique et de la Population, le centre de protection infantile de Bénouville est agréé comme préventrium pour 110 enfants de moins de cinq ans. En 1956, l'administration est contrôlée par une commission de surveillance et un comité social qui a pour mission de s'efforcer de trouver du travail aux mères sortant de l'établissement.
    En raison du recul de la tuberculose, le conseil général convertit un pavillon du préventorium en accueil en faveur de l'enfance inadaptée. La conversion du préventorium en Institut Médico-Pédagogique est définitivement autorisé en 1971.
    En 1972, le président de la commission demande la fermerture de la Maternité à compter du 1er janvier 1973. Désormais, la plupart des accouchements auront lieu dans le service gynécologique obstétrique du Centre Hospitalier Universitaire de Caen. En 1983, c'est la maison maternelle qui est transféré à Hérouville-Saint-Clair, l'IMP est déménagé en janvier 1985 au château de Vaux à Graye-sur-Mer. Le foyer de l'enfance et la pouponnière ont été quant à eux transférés à Caen le 13 décembre 1985.