Ce portail est conçu pour être utilisé sur les navigateurs Chrome, Firefox, Safari et Edge. Pour une expérience optimale, nous vous invitons à utiliser l'un de ces navigateurs.

Le massacre de la Maison d'arrêt de Caen, 6 juin 1944

Les faits : un crime nazi visant la Résistance

La maison d'arrêt de Caen en 1951. Col. Roger Henrard. AD14, 12FI/6

Les victimes

Maman, je [suis] arrêté comme étant communiste par Fortier. Va le voir, explique lui que je suis innocent, car j'ai reçu des coups de nerf de bœuf. S'il n'y avait pas Gisèle, je ne serais plus vivant. Dis à Roger de dire bonjour à tout le monde et à Kléber de venir avec l'allemande de Littry et à Sobry de dire à Raymond de parler pour moi. Milles baisers Maman, Papa, Yolande et aux amis.  A petite Gigi, attends-moi. "A bientôt". Je suis innocent.

Mouchoir sur lequel Colbert Marie a écrit un message avec son sang à sa mère durant sa captivité à la maison d'arrêt de Caen, AD14, 6J/91

Les rescapés

Les coupables et l'enquête après la Libération

Une des premières liste de victimes présumées, établie le 11 juillet à partir des paquets retrouvés sur place. AD14, 3348W/1

Les archives et la mémoire du massacre

Rapport du surveillant chef de la maison d'arrêt, le 6 juin 1944. 1166W/34
Stèle commémorative de la maison d'arrêt. AD14, 6J/70

Exposition

Pour aller plus loin

Ce site utilise des cookies techniques nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne contiennent aucune donnée personnelle et sont exemptés de consentements (Article 82 de la loi Informatique et Libertés).

Vous pouvez consulter les conditions générales d’utilisation sur le lien ci-dessous.